Il y a des choses qu’il est impossible de faire par le parcourt touristique normal. Ce genre de week-end moi j’en redemande !!!!
Tout commença le vendredi 21h. Après avoir rencontré un martiniquais qui m’a chaleureusement invité à venir décoller chez lui, nous nous dirigeâmes lui ainsi que ses amis (des étudiants comme lui et moi français en poste en chine) en boite de nuit. A 5h du matin, obligation de rentrer car nous devions repartir, mes colocataires et moi, rejoindre des chinois à l’arrêt de bus. N’ayant pas dormi, je les suivais non sans mal à ce bus qui devait nous emmener hors de Beijing dans une ferme…
A l’arrêt de bus nous attendait Galisa, une chinoise rencontrée par hasard dans le métro en sortant du boulot (Eh oui cela m’arrive) quelques semaines auparavant. Elle nous a proposé de l’accompagner à la montagne. J’étais loin de me douter de ce qui allait se présenter à moi.
Le trajet de bus fut court pour moi. Ayant dormi tout le long du voyage je fut réveillé assez brutalement à l’arrivée dans une ville. Nous marchâmes quelques minutes puis prirent un autre bus cette fois ci plus petit. Il était chargé de nous mener à la ferme. Nous étions 7, dans la voiture. C’était assez confortable. Après 1h de route on arriva dans cette ferme, où l’on n’était pas seuls. En effet un autre groupe de chinois avait eu la même idée que nous…
Petite ferme assez sympa, comme on dit chez l’habitant, elle se situait dans un petit village de fermier situé au pied de la montagne où l’on pouvait croiser pas mal de personnes âgées.
Après avoir déjeuné (tout le monde avait faim), on se dirigeât vers un barrage où l’on fit du bateau grande vitesse. Mais le plus intéressant à ce barrage je pense ce fut le moment où l’on demanda à notre chauffeur de nous passer sa voiture. Cela fut le délire total. Conduisant comme des fous dans les serpentins de la descente, on klaxonnait toutes les personnes que l’on croisait. Moment inoubliable !!!
Après ce moment fort, on décida d’aller faire du cheval non loin de notre ferme. Là encore, on a pu se lâcher. Une demie heure de cheval dans la campagne chinoise.
A notre retour, il fut question de jeux et du dîner. On apprit de nombreux jeux de cartes puis on alla manger. A la fin du dîner, on nous convia à un karaoké. Je peux vous dire que les chinois sont les champions du monde de la discipline et les français des…
On a passé près d’une heure si ce n’est pas plus à leur casser les tympans. Mais c’était ambiance bonne enfant : les chauffeurs, les enfants, tout le monde participait.
A noter que dans le village, ils ont passé leur soirée à faire éclater des pétards. En effet, il est interdit d’en éclater à Beijing, alors quand les chinois partent en vacances dans ce genre d’endroit, ils se font plaisir. Entre nous et les pétards dehors, ils ont eu leur dose. On s’est même invité au karaoké des voisins qui nous ont chassés assez violement c’était trop comique (rires).
Il fut l’heure d’aller se coucher après une journée bien remplie mais assez reposante par rapport à celle qui nous attendait…
Le lendemain 6h du matin, réveil et petit déjeuner puis départ pour la montagne. J’appris qu’il fallait 5h aller-retour à pied de chinois pour monter tout là haut et revenir. Cette perspective ne me rassura guère.
Remy et Alexis, prirent la poudre d’escampette dès le départ. Je ne l’ai revis qu’au retour (rires). En effet, je grimpais à mon rythme, quasiment celui des chinois, prenant par si par là quelques photos. La fatigue se fit sentir au bout d’une heure de marche. Je décidai donc de m’arrêter à un point d’eau et de plonger mes pieds dans la rivière. Ce geste me fut fatal. Plus jamais je ne quittais cet endroit qui me rappelait la guadeloupe. Ayant je pense prémédité ce coup, j’avais rapporté un livre que je lu installé sur un rocher, à la stupéfaction de tous le chinois qui m’observaient.
Il était 8h 30 quand je commençai ma lecture. Bien sur, je pris sommeil au bout d’une demie heure, le bruit de l’eau qui coulait dans les oreilles. Je me réveillais près de 3h plus tard à l’heure de la redescente. Je n’avais rien vu de cette montagne mais je fus heureux de ma sieste (rires).
Le week-end était terminé et il fallait maintenant retourner à Beijing. En rentrant on tomba dans un embouteillage monstre qu’habillement notre chauffeur que l’on a surnommé « chicken » (C’est une très longue histoire) à su éviter. Mais, on fut pris dans un ralentissement un peu plus loin. C’est là que l’on décide, connaissant les bouchons chinois, de descendre de la voiture et de marcher sur le bas coter. Titillant chaque voiture rencontrées par un « Ni hao = bonjour » on se fit pas mal d’amis. On arriva aux alentours de 19h à Beijing, la tête pleine de souvenirs…
Tout commença le vendredi 21h. Après avoir rencontré un martiniquais qui m’a chaleureusement invité à venir décoller chez lui, nous nous dirigeâmes lui ainsi que ses amis (des étudiants comme lui et moi français en poste en chine) en boite de nuit. A 5h du matin, obligation de rentrer car nous devions repartir, mes colocataires et moi, rejoindre des chinois à l’arrêt de bus. N’ayant pas dormi, je les suivais non sans mal à ce bus qui devait nous emmener hors de Beijing dans une ferme…
A l’arrêt de bus nous attendait Galisa, une chinoise rencontrée par hasard dans le métro en sortant du boulot (Eh oui cela m’arrive) quelques semaines auparavant. Elle nous a proposé de l’accompagner à la montagne. J’étais loin de me douter de ce qui allait se présenter à moi.
Le trajet de bus fut court pour moi. Ayant dormi tout le long du voyage je fut réveillé assez brutalement à l’arrivée dans une ville. Nous marchâmes quelques minutes puis prirent un autre bus cette fois ci plus petit. Il était chargé de nous mener à la ferme. Nous étions 7, dans la voiture. C’était assez confortable. Après 1h de route on arriva dans cette ferme, où l’on n’était pas seuls. En effet un autre groupe de chinois avait eu la même idée que nous…
Petite ferme assez sympa, comme on dit chez l’habitant, elle se situait dans un petit village de fermier situé au pied de la montagne où l’on pouvait croiser pas mal de personnes âgées.
Après avoir déjeuné (tout le monde avait faim), on se dirigeât vers un barrage où l’on fit du bateau grande vitesse. Mais le plus intéressant à ce barrage je pense ce fut le moment où l’on demanda à notre chauffeur de nous passer sa voiture. Cela fut le délire total. Conduisant comme des fous dans les serpentins de la descente, on klaxonnait toutes les personnes que l’on croisait. Moment inoubliable !!!
Après ce moment fort, on décida d’aller faire du cheval non loin de notre ferme. Là encore, on a pu se lâcher. Une demie heure de cheval dans la campagne chinoise.
A notre retour, il fut question de jeux et du dîner. On apprit de nombreux jeux de cartes puis on alla manger. A la fin du dîner, on nous convia à un karaoké. Je peux vous dire que les chinois sont les champions du monde de la discipline et les français des…
On a passé près d’une heure si ce n’est pas plus à leur casser les tympans. Mais c’était ambiance bonne enfant : les chauffeurs, les enfants, tout le monde participait.
A noter que dans le village, ils ont passé leur soirée à faire éclater des pétards. En effet, il est interdit d’en éclater à Beijing, alors quand les chinois partent en vacances dans ce genre d’endroit, ils se font plaisir. Entre nous et les pétards dehors, ils ont eu leur dose. On s’est même invité au karaoké des voisins qui nous ont chassés assez violement c’était trop comique (rires).
Il fut l’heure d’aller se coucher après une journée bien remplie mais assez reposante par rapport à celle qui nous attendait…
Le lendemain 6h du matin, réveil et petit déjeuner puis départ pour la montagne. J’appris qu’il fallait 5h aller-retour à pied de chinois pour monter tout là haut et revenir. Cette perspective ne me rassura guère.
Remy et Alexis, prirent la poudre d’escampette dès le départ. Je ne l’ai revis qu’au retour (rires). En effet, je grimpais à mon rythme, quasiment celui des chinois, prenant par si par là quelques photos. La fatigue se fit sentir au bout d’une heure de marche. Je décidai donc de m’arrêter à un point d’eau et de plonger mes pieds dans la rivière. Ce geste me fut fatal. Plus jamais je ne quittais cet endroit qui me rappelait la guadeloupe. Ayant je pense prémédité ce coup, j’avais rapporté un livre que je lu installé sur un rocher, à la stupéfaction de tous le chinois qui m’observaient.
Il était 8h 30 quand je commençai ma lecture. Bien sur, je pris sommeil au bout d’une demie heure, le bruit de l’eau qui coulait dans les oreilles. Je me réveillais près de 3h plus tard à l’heure de la redescente. Je n’avais rien vu de cette montagne mais je fus heureux de ma sieste (rires).
Le week-end était terminé et il fallait maintenant retourner à Beijing. En rentrant on tomba dans un embouteillage monstre qu’habillement notre chauffeur que l’on a surnommé « chicken » (C’est une très longue histoire) à su éviter. Mais, on fut pris dans un ralentissement un peu plus loin. C’est là que l’on décide, connaissant les bouchons chinois, de descendre de la voiture et de marcher sur le bas coter. Titillant chaque voiture rencontrées par un « Ni hao = bonjour » on se fit pas mal d’amis. On arriva aux alentours de 19h à Beijing, la tête pleine de souvenirs…
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